Thibaut Mottet

 

Malgré ma crainte des SSII, je me suis laissé tenter par Arolla. Aujourd’hui, je ne regrette pas. Ce qui compte n’est pas le système de l’entreprise, mais ceux qui la font et j’ai la chance de pouvoir travailler avec des développeurs d’un excellent niveau.

J’ai toujours été un cancre à l’école ! Je n’ai pas peur de le dire. Ce que l’on y apprenait ne me plaisait pas, sans compter le poil dans la main que j’avais … Après le bac, j’ai donc décidé de faire de l’apprentissage en électronique embarquée. C’est à ce moment-là que j’ai découvert le monde du développement d’application web. A la RATP, on m’a proposé de programmer et cela m’a plu. Ce que j’aime dans l’informatique c’est le concret de la discipline, contrairement aux mathématiques, par exemple, où il est plus compliqué de voir en direct ce que donnent les résultats.

En plus de cela, je trouve l’informatique très ludique, contrairement à la musique que j’ai pratiquée plus jeune. Pour se perfectionner, il faut connaître la technique sur le bout des doigts en plus de répéter et répéter encore le même morceau. De plus en discutant avec mes profs de musique, je me suis aperçu que leur passion était devenue leur métier et certains perdaient le plaisir de pratiquer. Pour moi, l’informatique c’est tout le contraire ! Plus j’en fais, plus j’aime ça et j’ai l’impression que c’est un point commun que nous partageons entre développeurs.

En outre, nous sommes traités comme des divas ! Lorsque que je compare mon cas à celui de mes amis qui triment pour trouver du travail, je réalise ma chance. Avant d’être chez Arolla, j’étais en start-up et je n’avais pas le temps d’apprendre comme je le fais aujourd’hui. Il y a un an et demi, je ne connaissais pas les bonnes pratiques et l’univers craft en général. J’aurais aimé pouvoir apprendre cela dès l’école, j’estime avoir perdu du temps sans ces connaissances. D’ailleurs, le projet de la Combe du Lion Vert est une très bonne idée et une formidable chance pour les juniors. Malheureusement je n’ai pas eu cette opportunité et c’est avec un collègue que nous nous y sommes mis. Nous suivions sur twitter les grandes figures du milieu, notamment Cyrille Martraire. C’est justement de cette façon que j’ai connu Arolla qui m’a contacté par la suite. Après avoir passé plusieurs entretiens dans plusieurs boîtes, c’est Arolla qui m’a le plus plu, de par la qualité de leur équipe, mais aussi par la qualité de leurs meetup. Alors que j’avais peur de devenir une vulgaire marchandise en allant en SSII, j’ai compris que chez Arolla ce ne serait pas le cas. Dès mon arrivée, j’ai eu le droit à un livre d’informatique, ce qui n’est pas rien ! Et avant même d’être intégré en mission chez eux, j’avais pu voir Cyrille Martraire et Arnauld Loyer lors d’un déjeuner. Ils ont pris le temps de répondre à mes questions… J’ai aussi eu Cyrille Martraire au téléphone pour me conseiller sur mon choix de mission… Cela m’a fait dire qu’Arolla n’était pas centré sur l’argent.

Depuis que je suis ici, j’ai énormément appris ! Je suis un « débile » parmi les meilleurs, ce qui me pousse à me dépasser et j’adore ça. J’ai toujours envie de me perfectionner et grâce à ma mission, c’est possible : on travaille avec les dernières technologies, une plateforme avec une agilité très poussée, des bonnes pratiques très fortes et une équipe géniale !

J’ai confiance aujourd’hui, j’espère ne pas être déçu par la suite, mais les retours d’expériences de développeurs passés par Arolla sont unanimes : s’ils devaient retourner en SSII, c’est là qu’ils iraient.

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